Parcours artistique de Mad-Jarova et
l'art contermporain
Mad-Jarova reçoit la vocation d’artiste, dés l’âge de quatre ans, pour consacrer sa vie
à la peinture et à la sculpture.
Elle est née dans un milieu d’intellectuels. Son père Dontcho Madjarov est l’un des plus importants Editeurs
dans le pays.
Petite fille, elle subit la guerre et la misère du régime communiste. Son père étant considéré comme ancien bourgeois, sans travail, la famille est dans la misère.
Dès l’âge de 13 ans, Mad-Jarova travaille, parallèlement à ses études qu’elle réussit brillamment.
Ses tableaux sont réalisés à l’huile sur toile
Le sens de l’art devient le reflet du sens de la vie
À l’école des Beaux Arts, elle est exclue du KOMSOMOL, à cause de ses origines, de sa forte personnalité et de ses idées originales qui ne correspondent pas au standard de la jeunesse communiste.
Malgré cela, elle gagne le concours pour entrer à l’Académie des Beaux Arts en 1957 qu’elle termine avec succès.
Par la suite, elle travaille comme professeur et avec beaucoup de difficultés, elle réussit en 1966 à quitter la Bulgarie et traverser le rideau de fer, toute seule, sans argent et sans connaître personne pour lui venir en aide.
En passant par Vienne en Autriche, la destination est Paris. Après beaucoup de péripéties, elle expose au Salon des Artistes Français et au Salon des Indépendants. Sa première exposition personnelle à Paris en 1969 à la galerie Henquez a un grand succès.
Aujourd’hui, après plus de 100 expositions personnelles en France, en Europe et aux Etats-Unis, elle bénéficie d’une notoriété internationale.
La peinture imaginaire de Mad-Jarova, tout en étant réaliste dans ses formes, explore l’espace intérieur, celui de notre psyché : ce monde invisible qui co-existe en dualité inséparable avec notre être relationnel du monde extérieur.
C’est une révolution dans le domaine de la science : une nouvelle interprétation de l’observation des phénomènes existants.
La dualité, entre les informations d’une réalité transmises par les récepteurs sensoriels, et l’activité mentale intérieure de perception imaginaire et transcendante, fait partie des dualités psychiques de l’homme.
Imaginaire et réalité, transcendant et existant, subjectif et objectif sont des dualités profondes de la nature humaine.
Le mental ne peut être assimilé à la substance matérielle du cerveau. Il est une entité dynamique aux activités complexes et aux manifestations hétérogènes, comme la parole, l’affection, la volonté, l’appréciation de la beauté, les fonctions coordonnées dans la résolution des problèmes, le développement de la connaissance, etc
Où est située la conscience ?
Si je vois sans regarder, je comprends sans savoir, j’agis sans comprendre, sans en être consciente, c’est parce que notre cerveau dispose d’aptitudes multiples d’appréhension qui nous sont encore inconnues.
Si je ferme les yeux, une foule d’images vivantes et réelles défilent devant moi, comme des hologrammes. D’où viennent-elles ? Les avais-je déjà rencontrées quelque part ou sont-elles le fruit de mon imagination ?
Ces visions énigmatiques me sont familières depuis mon enfance, mais elles deviennent, avec le temps, de plus en plus vivantes et précises. Ce sont elles qui me servent de modèles. L’évolution de mes œuvres le prouve.
Que se passe-t-il en nous et où exactement ? Je les intègre dans mes œuvres sans chercher à les justifier. Surprise ! Elles deviennent cohérentes, sans que je m’en rende compte. Lorsque je décide de les décrire, l’écriture se fait comme par magie. Quel est le mystère qui donne du sens à nos visions spontanées ? Ceci représente un des mystères principaux que les scientifiques évitent consciemment ou inconsciemment.
La conscience est faite d’une stabilité qui lui donne un sens, le sens de notre univers d’un modèle extrêmement particulier. L’univers a été réglé de façon très précise pour que la vie et la conscience puissent y apparaître.
Notre monde évolue dans le temps sous le signe d’une dualité primordiale : le Bien et le Mal, l’Homme et la Femme…
www.mad-jarova.fr www.mad-jarova.net
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mad-Jarova
Savez-vous que le savoir-faire dans l’art n’a rien à voir avec l’artisanat ? L’œuvre est créée au plus profond de l’âme de l’artiste,
mais le savoir-faire est la base de toute oeuvre authentique.
C’est un repère sur lequel se fonde la création d’une époque. Sans lui, tout pourrait être considéré comme de l’art.
Sans lui, les valeurs restent subjectives, mais surtout spéculatives.
Que deviendra l’art après nous ?
Tous les artistes se posent cette question, surtout vers la fin de leur vie. Notre époque est marquée par l’individualisme. L’individu est au centre des activités artistiques, économiques, politiques et même scientifiques, autant que dans la vie courante. Par conséquent, une profusion de styles et des concepts s’impose dans le domaine de l’art.
Les artistes qui respectent la maîtrise de la technique picturale sont classés dans le clan de retardataires qui n’ont rien compris.
Pourtant, ce sont des talents authentiques individualisés et messagers de l’art à venir. Ce sont des artistes visionnaires.
L’art visionnaire a toujours existé dans la représentation de thèmes religieux. Mais l’art visionnaire d’aujourd’hui n’est pas le même.
Pour que cet art soit accepté dans l’art contemporain, il faut le situer dans notre époque. Le supraréalisme est né. Supra signifie ci-dessus, au-delà, dans le sens d’une expression de la réalité du visible et celle de l’invisible.
Grâce à Marylene Leterrier et ses collaborateurs, et grâce au Salon "Chimeria" à Sedan, cet art est bien implanté, pour assurer sa pérennité.
Le supraréalisme est un nouveau courant de pensée qui concerne les arts visuels, la musique, la littérature, la science et la philosophie.
Dans le domaine de la science, le supraréalisme est aussi une vraie révolution. Il est la compréhension des phénomènes inconnus. Einstein ne s’est jamais trompé en pensant que la physique quantique n’était pas complète. Il lui manquait l’essentiel.
Le Supraréalisme imaginaire et visionnaire arrive au moment importun de l’histoire. Le Supraréalisme est un nouveau courant de pensée, basé sur la spiritualité laïque. C’est un autre style artistique de l'art contemporain. Il concerne aussi la musique, la littérature, la science et la philosophie. Par rapport au surréalisme qui est guidé par l'automatisme de l’inconscient, dans le supraréalisme la réalité consciente se dévoile dans le visible mais aussi dans l'invisible (supra signifie ci-dessus, au-delà).
Dans le domaine de la science, le supraréalisme révèle une interprétation inédite des observations. En incluant la conscience, comme facteur indispensable, les anomalies entre la relativité et la physique quantique disparaissent. J’ai créé la base de la Théorie de la relativité essentielle. Elle est une approche empirique et holistique, où les phénomènes incompréhensibles de la physique fondamentale s'accordent avec les observations déjà prouvées.
Au début des années quatre-vingt, j’ai créé une nouvelle théorie scientifique de la conscience. L’ouvrage « Voyage au-delà de l’infini », où l’on trouve une centaines de reproductions de mes œuvres picturales est encore en vente. Dans les textes concernant la conscience, j’avais remplacé les termes « Conscient » par « Ame » et « le Supra conscient » par « Esprit », en pensant rendre la lecture plus compréhensible, mais ici j’emploie les vrais termes.
Le supraréalisme en vidéo