Le Supraréalisme est un nouveau courant de pensée

LE SUPRARÉALISME

UN NOUVEAU COURANT DE PENSÉE


Pourquoi le Supraréalisme est de l’art contemporain ?


Le Supraréalisme est l’art contemporain de notre époque.

Le Supraréalisme est lié aux problèmes planétaires.


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Le Suprraréalisme est l’art contemporain à comprendre.



Il encourage chacun dans la recherche du sens de sa vie.

 L’art supraréaliste fait découvrir une nouvelle beauté liée aux états de l’âme et de la conscience.



Le Supraréalisme est l’art contemporain d’un nouveau paradigme total

(concernant tous les arts, la science et la philosophie)




 Ce nouveau courant de pensée est une révolution naturelle

Le supraréalisme est un nouveau courant de pensée qui concerne les arts, la musique, 
la littérature, le cinéma la science et la philosophie. 
C’est une nouvelle prise de conscience en accord avec l’évolution du savoir de notre époque
.
Nous évoluons dans un monde de vide inobservable. Nous sommes 
un ensemble de vibrations dans le vide. 
 En effet, un noyau atomique représente une petite poussière dans un volume vide, aussi vaste qu’une cathédrale. 
Nous-mêmes, nous sommes remplis de vide.
Pourtant, la matière qui nous entoure paraît dure et stable. 
Il est difficile de l’admettre, mais c’est la réalité. Le monde dans lequel nous évoluons est-il une illusion ?  

Et, ce n’est pas tout. 

La matière observable dans l’univers ne représente que 10 % et la matière manquante, soit 90 %, est introuvable. 
Pour résoudre ce problème, les scientifiques ajoutent de la 
matière noire et de l’énergie sombre, 
sans les identifier. 

 Officiellement, il est convenu que le vide n’est pas vraiment vide. Mais il reste inobservable, il fait partie d’un monde invisible, que l’on décèle par les réactions entre particules virtuelles. 
Il y a spontanément et en permanence des créations de paires (particules de matière et d’antimatière) toujours en couple, mais l’antimatière reste introuvable dans l’univers. 

 
Et ce n’est pas tout. 

Nous ne connaissons pas le mystère de la vie qui surgit d’une façon délibérée et spontanée, et ne comprenons pas l’intelligence cachée dans le réseau complexe de communication et de fonctions. 
 Dans les années soixante-dix, furent découvertes par les américains Philip Sharp et Richard Roberts 
les portions d’ADN non codantes baptisées introns
Les gènes occupent à peine 10% de la molécule d’ADN
alors à quoi servent les 90% restants ? 
Ce phénomène étrange ressemble à celui de la matière invisible dans l’Univers. 

Dans notre monde, la symphonie de la vie dans son intégralité n’est pas audible. 
Comme si l’oreille humaine était incapable d’entendre les ultrasons
Cela ne veut pas dire qu’ils n’existent pas, 
car la nature montre toujours une logique et une tendance d’économie. 

 Même si la Science ne l’a prouvé que récemment, 
les grands penseurs se sont toujours doutés de la nature vibratoire du monde dans le vide. 
Le vide que la science cherche à explorer est le siège de 
tous les phénomènes inconnus. 

L’art, la science et la philosophie ne sont pas concevables séparément, en dehors de leur rapport universel. 
 Dans ce contexte, à l’époque où la science découvre l’existence du monde invisible, 
l’émergence du supraréalisme est normale. 

Le Supraréalisme et les autres expressions artistiques

En partant du principe selon lequel tous les arts se rejoignent, les images de rêve peuvent surgir non seulement sous le pinceau du peintre, mais à partir de mots et de musiques, en laissant le soin à chacun de continuer 
la création de l’œuvre dans sa propre imagination. 
Ainsi des images de rêve éveillé captées dans des lieux inaccessibles 
peuvent devenir réellement existantes si elles prennent vie en nous. 

Mais, la modernité forcée, dictée par quelques personnes bien placées, a changé la donne. 
Comme toujours, l’art officiel, n’étant pas celui reconnu dans l’histoire de l’humanité, 
est celui qui tient les rênes du pouvoir économique, politique et intellectuel.
La musique dodécaphonique apparue vers 1920, est une technique de composition musicale 
inventée par Arnold Schönberg. https://fr.wikipedia.org/wiki/Arnold_Schönberg
 Il avait déjà composé des oeuvres remarquables. A un moment donné, il a cru être 
au sommet de la composition musicale. 
Alors, il invente une structure d’intervals qui supprime la tonalité et l’émotion que la musique procure. 
La musique a pour objet de cultiver les sentiments. Elle agit spontanément sur notre psychisme. 
La musique atonale peut provoquer des angoisses, et des pulsions instinctives, 
cachées au fond de l’inconscient collectif, 
mais elle ne procure pas de sentiments (amour, tristesse, joie, idées). 
La Musique atonale a investi notre culture pendant plus de 100 ans.
En même temps, des dizaines de compositeurs qui ont créé des œuvres exceptionnelles 
très originales et d’une profondeur fascinante, 
ont été placés dans la corbeille du post-romantisme. 

Pourtant, tout un siècle a vu naître une nouvelle musique, 
sous le signe de l’émotion, de la réflexion et sur une intériorité inconnue auparavant. 
Le post-romantisme marque la fin du romantisme. 
En principe, il ne pourrait pas durer si longtemps, plus d’un siècle. 
Par conséquent, le post-romantisme est précurseur du supra-romantisme, 
il en est la source qui se transforme en torrent tumultueux.
La musique a son langage universel. Si elle exprime la richesse intérieure de celui qui la crée, 
elle sera toujours création à l'infini et n'a pas besoin d'artifices. 
Toutes les époques ont laissé dans notre Patrimoine culturel leurs caractère en résonance 
avec l’état d’esprit inscrit dans le cadre socio-culturel. 

 La musique classique du 18e siècle est très agréable à écouter, relaxante et reposante, 
avec une orchestration bien ordonnée et bien rythmée.
 
 Le romantisme du 19e siècle rompt la structure ordonnée du rythme et de la tonalité initiale par des ornements et des modulations. Mais, l’orchestre suit bien l’instrument soliste, en respectant les structures classiques. 

En revanche, la musique des compositeurs du 20e siècle, 
celle qui a été classée dans le post-romantisme de la fin du 19e siècle, 
prend sa liberté pour mieux plonger dans les méandres de l'intériorité. 
Les états d’âme cristallisés par de nouvelles combinaisons des motifs musicaux 
expriment la richesse personnelle du compositeur. 
 Le thème de la joie et de la tendresse est rompu brusquement par le cri du tourment, qui se dégrade dans l’amertume par des chromatismes des marches descendantes. 

Les émotions conscientes deviennent des sentiments réévalués entre l’extase et la douleur, 
entre la tendresse et le drame à la recherche du sens : le sens de la vie. 
Les orchestrations deviennent beaucoup plus complexes dans leurs formes musicales.
 
Le concerto n°3 Korczack pour piano d’Elie Coff* (1999) est un dialogue impressionnant entre le piano et l'orchestre : une symphonie pour piano et orchestre. Les motifs mélodiques se développent en chromatismes ascendants (jusque huit dans le premier mouvement).
 

Les symphonies de Hugo Alfven, mort en 1960, sont étonnantes. 
Elles surprennent grâce à leur profondeur, dramatisée par la diversité des sentiments, entre-coupée de longues pauses et accélérations. 
C'est un compositeur très original.




Le concerto pour violon et orchestre de Bortkiewicz, mort en 1952, est prodigieux. Sa force est ensorcelante, surtout dans le 2e mouvement, où l’on est fasciné par des sonorités uniques. Cette musique s’écoute avec tout le corps et l’esprit.
 

 C’est toute la différence entre la musique du 20e siècle et celle d’avant. 
D’un côté, le style galant dans sa légèreté lumineuse et, de l’autre - le style profond 
dans sa sensibilité grandiose. 

 Le supraréalisme dans la musique pourrait être le supraromantisme du 20e siècle. 

Cette musique est plus romantique que celle du 19e siècle, dans le sens 
où la force de l’expression des passions est exacerbé dans le contraste 
entre une forme de révolte et de tristesse. 

Une ambiance mystique plane, elle enveloppe l’auditeur d’un voile magique. 

Le post-romantisme était déjà sur cette voie. Cependant, nous ne pouvons pas classer, 
pendant plus d’un siècle, les dizaines de compositeurs comme post-romantiques. 
Par rapport aux autres compositeurs du 19e siècle, ils se caractérisent dans leur  recherche du sens. 
Le sens dans une œuvre musicale est le développement de la ligne mélodique. 

La musique a son langage universel, grâce auquel elle s’exprime. 
Le langage de cette musique est compréhensible, conscient. 
Les phrases subliment une émotion pour la rendre vivante, telle une image en pulsation. 
L’harmonie est son alphabet. Sans elle, elle devient mutilée de ses moyens 
d’expression consciente. 

 Mais pour mieux comprendre cette tendance culturelle, il vaut mieux la placer 
dans son contexte historique et social. 

 Dans le passé, la musique a été attachée à l’église, pour glorifier le royaume du Dieu. Puis, elle est entrée dans la cour pour amuser l’aristocratie et glorifier les hommes de guerre qui se voyaient anoblis, grâce à leurs exploits militaires. Les Te Deum étaient souvent des cantiques de l’Eglise pour glorifier les batailles. Il y avait des pièces musicales inspirées par la mythologie. La musique a été destinée à une minorité bien placée dans la société. 

Le grand public n’existait pas encore. Ce n’est qu’au 19e siècle que la musique se fait écouter 
par un grand nombre de personnes. 

C’est l’époque de la libération de l’amour (très bien expliquée par Luc Ferry). 
C’est l’époque du romantisme de la musique, de l’opéra où l’on mourait par amour. 
Cette musique prenait source dans la vie personnelle de l’individu et ses tourments sentimentaux. 

La guerre n’est plus un acte de gloire, mais sujet de conflit entre l’amour et l’ambition, 
où l’amour est vainqueur de la mort (Aida de Verdi). 
La musique de cette époque est passionnante, car elle concerne l’intimité de chacun. 

 Le 20e siècle a commencé par deux grandes guerres 
qui ne se limitaient pas aux champs de bataille, comme auparavant. 
Les civils étaient exposés à des désastres inconnus, 
provoqués par les nouvelles armes sans précédent. 

Puis, il y avait les nazis, les guerres civiles, la guerre froide, le communisme, etc. 
Ce nouveau contexte politico - social engendre une nouvelle tendance d’ampleur émotionnelle au-delà du problème individuel. Dans cette situation, le postromantisme était prédicateur, tel un signe prophétique des événements à venir. Les grands compositeurs de la fin du 19e siècle étaient des visionnaires. 
Ils étaient les précurseurs du supraromantisme du 20e siècle. 

 Cela est un petit aperçu de la conjoncture historique qui a fait naître des compositeurs d’envergure, 
mais hélas encore méconnus. 

 Le sommet de l’expression supraréaliste se trouve dans le domaine du septième art. 

La nouvelle technologie numérique a ouvert largement les portes à l’imagination dans l’expression de l’invisible. Grâce au images de synthèse, très complexes, travaillées sur des ordinateurs puissants avec des logiciels performants, les créateurs inspirés déploient toutes leurs possibilités d’imagination créative. 

On admire les créatures inexistantes, mais tellement vraies, qu'on croit les connaître. L’histoire suit une idée sensée et consciente, (souvent la lutte entre le bien et le mal, entre l’amour et la haine). 
Ici encore, il y a la confrontation du personnage réel et de la créature imaginaire. 

Elle est le fruit du monde intérieur conscient du créateur. Par rapport au surréalisme de Fellini où l’histoire est confusément suspendue aux rêves, ici elle est suivie d’une logique constructive.


 Le but est précis : mettre en valeur une idée : « Avatar » (réalisateur James Cameron) est un film à grand succès, où l’idée est claire : confrontation entre la civilisation et la nature. Dans ce film monumental, l’imagination rend visibles les vibrations psychiques de la nature sous forme de filaments transparents. 


 Dans le téléfilm « Deux Princesses pour un Royaume » les chauve-souris presque humaines nous surprennent.


 « Peter et Elliott le dragon » est un film émouvant. (Le dragon était fait en dessin animé. Ici, il est en image de synthèse, ce qui le rend plus vivant, parce qu’il est plus réel, ainsi il est plus attachant.) Réalisateur David Lowery.


 « Le Seigneur des anneaux » « La Belle et la Bête » 2017 (nouvelle adaptation réalisée par Bill Condon) et beaucoup d’autres sont des œuvres magistrales. Elles marquent notre temps 
et resteront dans l’histoire du cinéma comme chefs-d’œuvre. 
Plusieurs films passent à la télévision mais tard dans la nuit.
A signaler "La Grande Bellezza", comédie dramatique Italo-française de
Paolo Sorrentino de 2013.
Un film remarquable de la déchéance de notre époque, rempli de sens, sous l'apparence d'un rêve.
D'autres films :
"L'homme qui rit" drame français de Jean-Pierre Améris (2012) 
"La cité des Anges" (1998) Film fantastique de Brad Siberling.
"Le labyrinthe de Pan" (2006) Film fantastique hispano-mexicain de Guillermo del Toro.


 Dans le domaine littéraire, nous trouvons aussi des ouvrages du supraréalisme,
 par exemple : Roger Zelazny, excellent stylistes et imagination impressionnante 


Catherine L. Moore

Joan D. Vinge: 
Mad-Jarova « Face à l’éternité » 

Savez-vous que le savoir-faire dans l’art n’a rien à voir avec l’artisanat ? L’œuvre est créée au plus profond de l’âme de l’artiste,

mais le savoir-faire est la base de toute oeuvre authentique.

C’est un repère sur lequel se fonde la création d’une époque. Sans lui, tout pourrait être considéré comme de l’art.

Sans lui, les valeurs restent subjectives, mais surtout spéculatives.




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