N’est-ce pas un peu la vie de chaque être humain ? Il pense que le bonheur sera là si telle chose se produit. Et lorsque ce qui était désiré se produit, le bonheur véritable n’est pas au rendez-vous. Parfois une illusion de bonheur superficiel et éphémère leurre l’esprit, mais rien de plus. Alors qu’est-ce que le bonheur et comment le vivre ?
Un faune m’a dit :
« Le bonheur c’est simple, il suffit d’être heureux. »
Et si le faune m’avait ainsi expliqué que nous n’avons pas à faire dépendre le bonheur d’une condition, d’un état, d’une situation ou d’une possession. Le bonheur est infiniment plus que cela. Le bonheur ne se nourrit jamais de l’extérieur. Le bonheur vient de l’intérieur de soi et se projette pour nourrir la scène extérieure de la matière. Tant que nous recherchons le bonheur à l’extérieur de nous, notre vie va refléter le manque de bonheur.Que deviendra l’art après nous ?
Tous les artistes se posent cette question, surtout vers la fin de leur vie. Notre époque est marquée par l’individualisme. L’individu est au centre des activités artistiques, économiques, politiques et même scientifiques, autant que dans la vie courante. Par conséquent, une profusion de styles et des concepts s’impose dans le domaine de l’art.
Les artistes qui respectent la maîtrise de la technique picturale sont classés dans le clan de retardataires qui n’ont rien compris.
Pourtant, ce sont des talents authentiques individualisés et messagers de l’art à venir. Ce sont des artistes visionnaires.
L’art visionnaire a toujours existé dans la représentation de thèmes religieux. Mais l’art visionnaire d’aujourd’hui n’est pas le même.
Pour que cet art soit accepté dans l’art contemporain, il faut le situer dans notre époque. Le supraréalisme est né. Supra signifie ci-dessus, au-delà, dans le sens d’une expression de la réalité du visible et celle de l’invisible.
Grâce à Marylene Leterrier et ses collaborateurs, et grâce au Salon "Chimeria" à Sedan, cet art est bien implanté, pour assurer sa pérennité.
Le supraréalisme est un nouveau courant de pensée qui concerne les arts visuels, la musique, la littérature, la science et la philosophie.
Dans le domaine de la science, le supraréalisme est aussi une vraie révolution. Il est la compréhension des phénomènes inconnus. Einstein ne s’est jamais trompé en pensant que la physique quantique n’était pas complète. Il lui manquait l’essentiel.
Le Supraréalisme imaginaire et visionnaire arrive au moment importun de l’histoire. Le Supraréalisme est un nouveau courant de pensée, basé sur la spiritualité laïque. C’est un autre style artistique de l'art contemporain. Il concerne aussi la musique, la littérature, la science et la philosophie. Par rapport au surréalisme qui est guidé par l'automatisme de l’inconscient, dans le supraréalisme la réalité consciente se dévoile dans le visible mais aussi dans l'invisible (supra signifie ci-dessus, au-delà).
Dans le domaine de la science, le supraréalisme révèle une interprétation inédite des observations. En incluant la conscience, comme facteur indispensable, les anomalies entre la relativité et la physique quantique disparaissent. J’ai créé la base de la Théorie de la relativité essentielle. Elle est une approche empirique et holistique, où les phénomènes incompréhensibles de la physique fondamentale s'accordent avec les observations déjà prouvées.
Au début des années quatre-vingt, j’ai créé une nouvelle théorie scientifique de la conscience. L’ouvrage « Voyage au-delà de l’infini », où l’on trouve une centaines de reproductions de mes œuvres picturales est encore en vente. Dans les textes concernant la conscience, j’avais remplacé les termes « Conscient » par « Ame » et « le Supra conscient » par « Esprit », en pensant rendre la lecture plus compréhensible, mais ici j’emploie les vrais termes.
Le supraréalisme en vidéo